Krishnamurti: discours fondateur (2/2)
La deuxième partie du discours de déclaration de dissolution de l'ordre de l'étoile d'orient ; la première partie est ici.
Deuxième partie:
Je reproduis une partie du commentaire d'un visiteur (Yog):
« En effet, on retrouve les grandes lignes de sa pensée. Krishnamurti prend un soin particulier à mettre à jour le conditionnement et à inviter les personnes à s'en libérer. Le problème fondamental de son discours réside dans le fait qu'il ne donne aucune méthode. En effet, comme la Vérité pourrait-elle se laisser enfermer dans une méthode, puisque par essence elle est libre ?
Mais au premier abord, Krishnamurti ne donne rien et ne veut rien donner, juste créer chez son auditeur un choc, afin qu'il se réveille de lui-même...encore faut-il qu'il en est l'envie.
Toutefois, à travers son discours, on peut comprendre que le chemin qu'il montre malgré lui, est celui de la liberté et de l'autonomie, à condition d'appliquer sur soi un regard pénêtrant. Pour cela, il ne faut pas avoir peur, comme dit Krishnamurti, pas avoir peur de lâcher le connu pour aller vers le vivant, la liberté.C'est cheminer seul, sans imiter, juste vivre pleinement la démarche, sans attaches. Au final, même Krishnamurti doit être abandonné afin de pouvoir marcher seul. »
Deuxième partie:
Je reproduis une partie du commentaire d'un visiteur (Yog):
« En effet, on retrouve les grandes lignes de sa pensée. Krishnamurti prend un soin particulier à mettre à jour le conditionnement et à inviter les personnes à s'en libérer. Le problème fondamental de son discours réside dans le fait qu'il ne donne aucune méthode. En effet, comme la Vérité pourrait-elle se laisser enfermer dans une méthode, puisque par essence elle est libre ?
Mais au premier abord, Krishnamurti ne donne rien et ne veut rien donner, juste créer chez son auditeur un choc, afin qu'il se réveille de lui-même...encore faut-il qu'il en est l'envie.
Toutefois, à travers son discours, on peut comprendre que le chemin qu'il montre malgré lui, est celui de la liberté et de l'autonomie, à condition d'appliquer sur soi un regard pénêtrant. Pour cela, il ne faut pas avoir peur, comme dit Krishnamurti, pas avoir peur de lâcher le connu pour aller vers le vivant, la liberté.C'est cheminer seul, sans imiter, juste vivre pleinement la démarche, sans attaches. Au final, même Krishnamurti doit être abandonné afin de pouvoir marcher seul. »