Alain Badiou — retour sur le succès de « De quoi Sarkozy est-il le nom ? ».

Publié le par Ritoyenne

Lors d'une conférence en 2008, Badiou revient sur son livre, qui fît grand bruit il y a peu.







Retrouvez tous les autres documents du père Badiou en cliquant ici.

Publié dans La philosophie en vie

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
R
Tu n'as rien coupé du tout, j'étais en week-end à la campagne, et je n'ai pas touché à un ordinateur - et ça ne fait pas de mal, n'est-ce pas ?En plus, je suis occupé à réparer le site : plein de pages contiennent des vidéos maintenant effacées, innaccessibles, etc. J'en ai remplacé quelques unes, etc.Et je vais poster quelques trucs dans la nuit.
Répondre
A
Eh oh PROUT Alors il y a plus rien de ce grand élan de nouveautés chez Paris 4 philo. Bon pour Heidegger c'était un procès d'intention, parce qu'en fait il y a bien l'idée de soumission et d'asservissement de laTerre adressé à l'homme au début de al génèse. Mais c'est différent du discours adressé aux hébreux (notamment Moise et Jacob pour ne pas les citéer, même le roi David, etc...) où il y a l'idée.Mais  comme le souligne joliment Stéphane Zagdanski, que tu dois connai^tre, dans son De l'ant-isémitisme, la joie et l'humour juifs partent de là. Il y a les Haleshim, les orthodoxes terrifés et les joyeux drilles. En tout cas c'est ce qui permet de dissocier deux peurs celle d'une timidité et de l'effacement rabbinique et la peur de l'autre que l'on retrouve dans certaine milice israélienne. Mais les premiers traits (joie, timidité) anisi que l'errance se retrouve chez Spinoza, penseur que n'évoque jamais Heidi.Merci Stéphane. http://www.dailymotion.com/video/k4zbwAHeILNJOU45oV (la liberté d'esprit)Bon chère Ritoyenne quand tu auras fini de iroter ton thé j'espère que tu nous mettras quelques posts sinon j'aurai l'impression d'être étouffant avec ma logorrhée, qui est le simple fait que je reste aux aguets mais que je ne suis pas comme Derrida qui a le nez pour ça.http://www.dailymotion.com/video/xjzqy_derrida-sur-lantisemitisme (l'extrême sensibilité à la question).Bon j'espère que tu auras compris que j'attendais de la répartie "mais je me suis aperçu que .. mon énergie à toute épreuve déangeait extraordinairement" (Stéphane Zagdanski). C'était avec une grande joie que j'avais posté mes commentaires mais j'ai plus l'impression d'avoir coupé l'élan.Toute ma sympathie
Répondre
A
Oh le charmant pays d'Heidi.Ah comme Heidegge aime à détourner la "domination de la terre" et "soumettre la terre et accomplir ainsi la parole de l’ancien testament" du sens original comme s'il y avait une prophétie juive de la mondialisation, alors qu'il s'agit toujours de la domination de la terre d'Israel, c'est-àdire de la la terre de celui qui a combattu avec les forces célestes et humaines. La bible parle de la domniation du sol (des royaumes de Juda ou d'Israel) alors que Nietsche parle du gouvernement de la planète. Pas si étrange pour un nazillon sorti d'HP qui arrive à faire de Nietsche "le dernier penseur métaphysique". Pour la référence, c'est p. 54 de "Qu'appelle-t-on penser ?"Au passage, il est difficile de traduire "Was Heil Denken" par "Qu'est-ce qui appelle à penser ?" si on pense à ce passage suivant « La question « Qu’appelle-t-on penser ? » ne trouve jamais sa réponse dans une détermination conceptuelle, dans une définition, ni dans un développement laborieux de son contenu. » p. 33 du même ouvrage. A moins de s'appeler Gérard Geist ou d'être heideggérien, c'est-à-dire dire d'aimer les traductions tarabiscotées. J'accorde que s'il ne voulait pas l'équivoque Heidegger aurait écrit "Qu'est-ce qui donne à penser ?". Mais avec une question "Qu'est-ce qui appelle à penser ?" la réponse sauterait tout de suite aux yeux : l'impensé, c'est pour cela que je ne vois pas alors l'intérêt de la précision que fait Heidegger p. 33.Tout ça pour dire que chez Heidegger il y a toujours une séduction première mais à tout bien ruminer, il y a le relent de quelque choes de plus douteux. Chère ritoyenne tu ne m'enlèvera pas cette saveur de la bouche.J'ai beau avoir parcoure la Genèse ou Jérémie ou Isaie (comme il est de coutume à présent dans le séminaire Guest star), il faut avoir en tête un "Programme juif de conquête du monde", alors qu'il n'est question à la base dans la bible que de petit territoire, d'un sol fertile et vraiment pas d'une planète. Même dans la Genèse il n'est question que d'un verger ou terre cultivable non d'une planète.Genèse 1 27 - Et Dieu créa l'homme comme sa représentation, comme la représentation de Dieu il le créa, mâle et femelle il les créa.28 - Dieu les bénit et Dieu leur dit : fructifiez, multipliez et remplissez la terre et exploitez-la* et dominez les poissons de la mer et les oiseaux du ciel et tous les vivants qui rampent par* terre.Genèse 2/15 - YHWH Dieu prit le terreau* et l'installa dans le jardin d'Eden pour le travailler et le garder. Mais je dois avoir l'esprit encore plus tarabiscoté que cette chère Heidi pour voir comme elle des présupposé qui ne sont pas dans la bible. C'est être messianiste ou complotiste que de faire un pont entre cela et le gouvernement à l'échelle d'une planète. Que penser de l'Egypte ou de Babylone, Dieu n'a jamais inviter Jacob et ss descendants à les écraser, iben au contraire ceux qui ne sont pas fidèle au territoire donné par Dieu aux fils d'Heber  (les hébreus) sont livrés à leur ennemis l'Egypte ou Babylone. Donc je circonspète de tant de tant d'inflatulences nasillardes.* les mots avec astérix sont ceux dont j'ai pris la traduction la plus simpliste et coulante qui soit, Heidegger ne ferait pas ainsi, pour suggérer un sens caché, un de ces casse-tête suspendu en l'air qu'il affectionne tant.BON BREF JE SUIS PARé POUR CETTE ANNéE QUI VIENT, MEILLEURS VOEUX. :)
Répondre
R
Ne t'en fais pas, P4P reste P4P.Du Dieudonné (j'ai assisté à son spectacle récemment) et du Soral, tu en auras bientôt :)Par contre, Heidegger n'est pas à mettre dans la même phrase que les deux autres ! Mais P4P reste "Heidy oriented" :)
Répondre
A
Zut on ne verra plus Dieudonné, Heidegger et Soral. P4P c'est que ultra-rouges. Que l'année va étre triste. On va peut-être avoir droit à kémi seba et aux Naturei Karta, dans cette grande farandole !.Il n'empêche que le communisme générique est pareil à toute cukture désintensifié férocement jaloux des culutures intenses et non-comptables. C'est même tout ce qui peut arriver de pire avec toute la mise entension au communisme. Heureusement le capitalisme fait poeuvre de révolution et pousse à l'invention les cultures intense qui ne se laissent coptées. Avoir si peu d'appétit, si peu d'invention qu'on finit par recréer l'homme c'est cela le communisme générique. Comme d'uatre en 68, je crierait volontiers : A bas les genres !
Répondre