Sur Pascal : Heidegger défenseur de Descartes

Publié le par jp

 

PRESENTATION DU SEMINAIRE 2008-2009


Le "Dieu caché" de Pascal et/ou  le "dernier dieu" de Heidegger (3' 58)

Pascal avant et dans Être et Temps (15' 54)

L'affrontement de Pascal avec Descartes (7' 56)

Importance historiale de Descartes méconnue par Pascal (9' 47)

Présupposés et intuitions de Pascal concernant la vérité (5' 27)


Le cogito, mutation de l'essence de la vérité indiscernée par Pascal (4' 09)



Pascal pris dans la clôture de la métaphysique (5' 11)

Publié dans La philosophie en vie

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A
Au passage, il est difficile de traduire "Was Heil Denken" par "Qu'est-ce qui appelle à penser ?" si on pense à ce passage suivant « La question « Qu’appelle-t-on penser ? » ne trouve jamais sa réponse dans une détermination conceptuelle, dans une définition, ni dans un développement laborieux de son contenu. » p. 33 du même ouvrage. A moins de s'appeler Gérard Geist ou d'être heideggérien, c'est-à-dire dire d'aimer les traductions tarabiscotées. J'accorde que s'il ne voulait pas l'équivoque Heidegger aurait écrit "Qu'est-ce qui donne à penser ?". Mais avec une question "Qu'est-ce qui appelle à penser ?" la réponse sauterait tout de suite aux yeux : l'impensé, c'est pour cela que je ne vois pas alors l'intérêt de la précision que fait Heidegger p. 33, puisqu'il ne doit y avoir de détermination conceptuelle.Je me permets de mettre ma critique sur le bon article :)
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